
La déclaration de candidature de Maryse JOISSAINS semble confirmer son attachement à une conception patrimoniale du pouvoir, alors que les Aixois attendent aujourd’hui un Maire qui réponde en priorité à leurs attentes démocratiques, écologiques et sociales.
La dynastie va t-elle continuer à se prolonger comme les rois autrefois ?
Après avoir eu Alain Joassains, puis Maryse Joassains, nous aurions bientôt la fille ou la petite fille, mais encore ?
Madame JOISSAINS semble avoir oublié qu’en France il n’y a plus de Roi depuis le XIXème. Son soit-disant « sens politique » est en fait d’un autre temps et n’est pas représentatif de la ville d’Aix-en-Provence que nous devons bâtir au XXIème siècle. Le discours de « Maryse », comme elle dit, rappelle celui des sombres années 30 au siècle dernier, auquel elle appartient.
Je dénonce les propos grotesques tenus à l’encontre de ses adversaires « les brêles », qui marquent un manque de responsabilité et de considération politique.
Madame JOISSAINS semble avoir atteint aujourd’hui le degré zéro de la politique, en passant de la comédie à la pitrerie.
Comment peut-elle s’imaginer plus compétente que les magistrats qui rendent justice au nom du peuple français ?
Pour ma part, je continuerai à mener une campagne digne et responsable pour proposer un nouveau projet municipal pour Aix-en-Provence.
Les Aixois ont plus que jamais besoin de responsables politiques qui leurs ressemblent et placent l’intérêt général au-dessus des intérêts particuliers.
Mon expérience, mes compétences et mon sens des responsabilités, m’ont déjà conduit à diriger une Université de 25 000 étudiants, plus de 3000 employés, 150 laboratoires de recherche et à gérer un budget de 150 millions d’euros.
Je tiens à rappeler que c’est l’Université qui a construit et obtenu le Plan Campus, alors que Maryse Joissains et son équipe municipale ne voulaient pas de l’Université unique.
Ce projet, d’une grande envergure, a eu pour conséquence le déclenchement de l’aménagement urbain du quartier des facultés et la mise en place du BHNS, qui n’aurait donc pas existé sans la volonté de l’Université, sous ma Présidence.
Marc PENA
Tête de liste d’Aix en Partage